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Transport

Voitures électriques et impacts environnementaux

Actuellement, les véhicules électriques commencent à accueillir de plus en plus d’adeptes. L’une des raisons qui incitent les particuliers aussi bien que les professionnels à opter pour ce type de voiture est son impact sur l’environnement. La question qui se pose est de savoir si elle ne pollue vraiment pas.

Le cycle de vie des véhicules électriques et son impact

Certaines études ont permis d’apporter les preuves nécessaires que la fabrication de voitures électriques pollue bien plus que celle des automobiles thermiques. À noter qu’avant même de rouler sur les routes, les véhicules électriques émettent déjà plus de gaz à effet de serre qu’un autre à essence. Cela s’explique notamment par le fait que la production des batteries renforce la croissance de l’activité minière. Elle engendrera une hausse de la demande :

  • De métaux tels que le lithium,
  • De minéraux comme le graphite.

Ce qui fait qu’elle génère une grande consommation de ressources naturelles. Cette situation va encore s’accélérer en fonction du développement de la production de véhicules électriques. Il convient de préciser qu’une batterie contient près de 3 kg de lithium. On assistera alors à un épuisement des réserves de ce métal si tout le monde devait rouler à bord de voitures électriques. Il convient de préciser que les projets d’électrification des transports entraînent une hausse de l’exploitation des minéraux.

Pour vous tenir informé sur le sujet, rendez-vous sur le site Emission Zéro.

Les véhicules électriques : un faible impact sur l’environnement

Il faut savoir que malgré l’énergie et la ressource utilisée pour la fabrication des voitures électriques, de leurs batteries et de la production d’électricité, leur impact environnemental est plus faible. Il importe de préciser qu’avec l’avancée de la technologie, les procédés de fabrication s’améliorent et elles seront encore plus écologiques. En France, le problème de la recharge ne se pose pas étant donné que l’énergie utilisée est le nucléaire. Elle a ainsi un excédent. Ce qui lui permet de couvrir les besoins des utilisateurs.

À noter également que le bilan carbone d’un véhicule électrique après 30 000 km est en équilibre par rapport à celui d’une voiture thermique. Durant tout son cycle de vie, il émet 2 fois moins de CO2. Son empreinte carbone est ainsi très faible étant donné qu’elle émet beaucoup moins de gaz à effet de serre qu’un véhicule à essence.

Il convient aussi de préciser que plus de 80 % des batteries lithium-ion peuvent désormais être recyclées. Des études sont actuellement menées par les industriels pour mettre au point un procédé pour recycler les batteries à 100 % et à l’infini. C’est une solution pour limiter la dépendance vis-à-vis des producteurs. D’ici quelques années, les batteries des véhicules électriques auront leur place dans l’économie circulaire.

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